Immortal Missing
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 Walker ; Writer stripped. ended

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Berlioz R. Walker
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Berlioz R. Walker


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MessageSujet: Walker ; Writer stripped. ended   Walker ; Writer stripped. ended EmptyVen 20 Mar - 15:24


    « Berlioz Rose Walker »

    Walker ; Writer stripped. ended 1240401_1_b1e537
    (c) Delirious chucho.

    « Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige,
    Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir!
    Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir;
    Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.

    Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
    Du passé lumineux recueille tout vestige!
    Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige...
    Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir! »


    Charles Baudelaire ; Harmonie du soir.






Dernière édition par Berlioz R. Walker le Lun 23 Mar - 18:22, édité 2 fois
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Berlioz R. Walker
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MessageSujet: Re: Walker ; Writer stripped. ended   Walker ; Writer stripped. ended EmptyVen 20 Mar - 15:33


    Walker ; Writer stripped. ended 845986khcopy Walker ; Writer stripped. ended 161754mkl9copy
    Pour commencer ;

    Nom & Prénom ;
      « Walker. Comme la plupart des descendances je porte le nom de famille de mon père. Oui j’en conviens, Walker pourrait vous faire penser à la vieille série Walker « Texas Ranger », mais la n’est pas la provenance de mon patronyme. Walker a des origines américaines certes, mais plus tiré des anglo-saxon qui ont migrés sur les terres britanniques. Ca ? Ce sont les histoires ardues et descriptives de mon grand père. M’enfin le plus important n’est pas de savoir d’où l’on vient mais de savoir qui on est vraiment à l’intérieur. Venons en a la question de mes prénoms. A cette époque, enfin à la période de ma naissance, mes parents s’attendaient tout bonnement à accueillir un petit garçon. Faute de mieux le médecin leur présenta des excuses, à croire qu’il avait mal fait son travail. Cependant la joie de mes parents n’en fut que plus grande. Berlioz. Voila le prénom que je porte depuis seize ans et même si il est étrange je l’ai adopté facilement. Il provient du compositeur de musique classique Hector Berlioz, dont ma mère tiré son inspiration musicale pour les comptines qu’elle me fredonnait pour m’endormir. Si c’est un peu terre à terre ? Oui certainement mais bon je ne me plains pas bien au contraire. Pour ce qui est de mon second prénom Rose, il me vient tout simplement d’une idée de mon frère aîné. Pourquoi ? La curiosité est un vilain défaut. »

    Age & Année ;
      « Vous dire la date de ma naissance ? Ca ne serait que perdre du temps. Mais bon. L’ouest de Londres, Fulham. Oui la ville ou je suis née et qui sûrement influence certains traits de mon caractère. Bref j’ai vus le jour un quatorze décembre, autant dire un jour de froid et d’humidité lors de l’année mille neuf cent quatre vingt douze. »

    Nationalité & Nature du sang ;
      « Conquêtes de l’ouest, pub et pluie ? La famille Walker est bien ce qu’il y a de plus anglo- saxon. Britannique et sorcier au sang pur depuis plusieurs génération du coté paternel, la lignée des Walker n’avait jamais été brisée, jusqu'à ce que mon père croise le chemin de la figure maternelle qui elle provient d’une famille déjà de sang mêlée. Par déduction j’en suis aussi une et fière de l’être. »

    Orientation sexuelle ;
      « Pour ce qui concerne mes expérience de vie, l’amour n’en fait partie a croire que je suis une jeune ermite bien bornée. Oui, mais je peux affirmer que je suis hétérosexuelle. »

    Maison Souhaitée ;
      « Un jour peu commun qu’est le moment de la répartition. Et comme le monde ne tourne jamais comme on le veut vraiment, j’ai inversé la donne de la famille. Les rouges et or, ont toujours étaient la maison d’accueil de ma famille. Le vieux bout de chiffon qui frôlait ma tête, a mis un certains temps avant de se décider. Une hésitation formelle entre le tempérament téméraire et fier et un caractère vivace d’intellectualité. Le fait d’être contradictoire et sans doute mon premier défaut, cependant la surprise est toujours de rigueur. »
      a voir (:

    Baguette Magique ;
      « On dit que c’est la baguette qui choisit son sorcier ? Oui je crois que c’est vrai. Sculpté en bois de frêne, mois de ma naissance et Plume de Griffon, et mesurant vingt huit centimètres, ma baguette est plus que nécessaire. Apres tout c’est le premier outil d’un sorcier. »

    Patronus ;
      Comme tout le monde, enfin plus particulièrement ceux qui connaisse la demoiselle , le calme est une des qualités dont elle fait preuve le plus clair de son temps. A son éffigie, la hulotte est un rapace des plus complexe mais aussi des plus calme dont la sagesse peut parfois mettre en déroute. Signe de sagesse et d'optimisme chez les amérindiens, la hulotte nous montre a quel point nos faiblesses peuvent devenir des points forts. Modèle de détachement et de changement radical, ce volatile aux plumage banc d'ordre général, depeint un aspect quelque peu sauvage et attachant, qui tout comme Berlioz peut se montrer tres difficile à apprivoiser; d'où l'origine de son dit patronus.

    Epouvantard ;
      « L’epouvantard … je dirais seulement qu’il prend la forme des créatures que je hais le plus à cette heure, même si cela est du passé. Le terme mort suffira, bien que si vous souhaitez rentrer dans les détails je vous dirais qu’il prend la forme d’une créature assez mouvante qui garde la tour de la prison dans le monde des sorciers. ».



Dernière édition par Berlioz R. Walker le Dim 22 Mar - 12:40, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Walker ; Writer stripped. ended   Walker ; Writer stripped. ended EmptySam 21 Mar - 13:58


    Walker ; Writer stripped. ended 696806caps0059 Walker ; Writer stripped. ended 487951caps0050
    Pour approfondir ;


      Prémices d’une connaissance dont on ignore le caractère ;
        « L'ordre est le plaisir de la raison : mais le désordre est le délice de l'imagination. »
      Claudel


      « Un mélange de douceur et de mélancolie associée à une dose de mauvais caractère ? Vous frappez à la bonne porte. Berlioz est une jeune demoiselle qui sait ce qu'elle veut. En d'autres termes cette jeune fille a un très mauvais caractère quand elle s'y met. Mais ne craignait pas trop son sourire, il est sincère et pleine de bonnes attentions. Notamment celui d'être un vrai rayon de soleil. Berlioz à la particularité de transmettre sa joie de vivre et son optimisme inconditionnel voir même parfois complètement démesuré. Elle adore rigoler et voir le côté positif même lorsque la situation parait futile ou désespérée. En revanche, Berlioz peut se montrer très déterminée et boudeuse quand elle à tort. Et c'est dans ce genre d'occasion que la brunette préfère se tenir à l'écart pour réfléchir à ses propres erreurs et tenter de voir les bonnes raisons. Les moments de solitudes sont primordiaux pour elle. Grande rigolote de temps à autres, Berlioz est aussi une personne calme et posée quand il le faut. De bons conseils en général, la jeune fille sait se mettre en quatre pour ses proches. En effet sa confiance est difficile à obtenir. Mais ne la chercher pas trop ou ne la prenait pas pour dupe de vos sarcasmes les plus discrets ... Les représailles pourraient être amères et de longues durées . Derrière ce tempérament se cache une véritable perle de sentiments et de fragilité. Berlioz n'aime en aucun cas montrer ses sentiments, car chez elle c'est une faille ... Son aspect taciturne et secret peut lui donner des airs de froideur et de mystère, mais c'est là que toutes ses qualités reposent . Elle est assez discrète et tellement réservée que parfois, la jeune fille passe inaperçu et c’est ce qu’elle désir ... Mais c'est ce qu'elle recherche depuis quelques temps, la solitude inconditionnelle et désarmante de l'Ermite qui se cache du monde. Mais les qualités premières de la jeune sorcière repose sur sa ténacité et son sens de l'honneur. Berlioz porte en elle une réelle part de combativité, que se soit mentale, ou encore dans la compétition du jeu. Son coté bougon lui vaut sans doute la palme d'or de la fierté mal placée. Etre battante et se donner à fond dans tout ce qu'elle fait lui permet d'apprendre de ses erreurs, et c'est une chose qu'elle ne regrette pas le moins du monde. Personne ne sait vraiment ce que ma Berlioz pense au fond, son visage d’ange et sans aucun doute des plus trompeur. Elle pourrait très bien vous montrez un excellent sourire, alors qu’au fond les noirceurs d’un souvenir triste et mélancolique s’empare de son cœur. Ce dernier d’ailleurs est le résultat d’une traduction entre elle et le reste de notre famille. Depuis toute jeune, je dirais vers quatre ou cinq ans, Berlioz s’est prise d’affection pour le piano. Et la suite ne fut que des plus surprenante car en l’espace de quelques jours, elle savait déjà jouer aussi bien que si elle avait appris à faire du vélo. La petite virtuose d’autrefois est toujours la même, une adolescente doté d’un énorme potentiel, et qui nous amène à nous demander ce qu’elle peut vraiment cacher ?. »

    paroles rapportées du grand père paternel ; Ezékiel Walker.



    Chapitre Premier : La rencontre d’un tournant fatidique ;
      « Le moment présent a un avantage sur tous les autres: il nous appartient. »
    Colton



    Comme si tout était simple dans ce monde si étroit d’esprit. Comme si tout était logique et clair dans ce monde de « fou ». Rien ne tournait rond et pourtant sous un ciel de pluie et d’une brume épaisse, vivait une jeune fille dont les parents avait la vie comme bon leur semblaient. Elle se nommait Jane Catherine Hamilton et comme toute jeune fille de bonne famille de sorcier au sang pur de l’époque, Jane se devait de suivre la tradition imposée par sa famille, à savoir la décision de l’époux. Jane n’avait jamais respectée à la lettre les conditions sous laquelle on lui avait donné la vie et encore moins celles auxquelles on l’a forcée d’obéir. Elle avait inversée la donne puisqu’elle avait envisagée de faire ce que bon lui semblait. Autrefois lorsqu’elle fut adolescente, Jane avait subit le cursus scolaire de sorcellerie de Poudlard où elle étudiait sous les couleurs bleu et argent dans la maison de Rowena Serdaigle. C’est aussi durant cette période que la jeune femme fit la connaissance d’Oscar Walker. Ce dernier étant issue d’une famille au sang pur et prestigieuse n’ayant jamais vécu le style de mode de vie de Jane. En effet, ses parents tous deux Aurors ont toujours lutés contre les gens tels que les mangemorts ou encore ceux qui pensaient que les moldus n’étaient pas dignes d’étudier la magie. La rencontre entre ces deux individus fut imminente et plutôt étonnante.

    Le terrain de Quidditch qu’offrait le domaine de Poudlard impressionnait la jeune fille qui pourtant jouait dans l ‘équipe depuis prés quatre ans. Les cris des jeunes sorciers qui les encouragés avait cessé depuis plus d’une heure car le match était fini. Pourtant la jeune blondinette, qui regardait le terrain fertile et verdoyant, assise dans l’une des tribunes essayer de réfléchir aux erreurs qu’elle avait commises avant d’attraper le vif d’or. Chaque pensée l’amenait à penser, à croire qu’elle n’avait pas les capacités nécessaire pour garder son post d’attrapeuse. La tête dans les mains, Jane repensait encore à cette image qui avait faillit lui coûter le match. Ses réactions étaient toutes plus ou moins régit de cette manière, à cause de son éducation car ses parents lui demandait toujours plus et toujours mieux. Tandis qu’elle ruminait des évènements passés, un jeune rouge et or vint s’asseoir prés d’elle, et déposa doucement sa main sur l’épaule de l’insatisfaite, pour la prévenir de sa présence. Cette dernière releva la tête et esquissa un minois surpris. Le jeune homme qui se présentait devant elle, était grand, svelte et musclé. Ses boucles d’une couleur caramel et brune laissaient apparaître un visage joyeux et amusé. Le jeune homme appartenant à la maison Gryffondor, la toisait d’un regard tendre et calme.

    OSCAR - « On peut savoir ce qui te retiens ici alors que toute ton équipe faites votre victoire sur les rouges et or ? ».

    La réplique … Enfin plutôt la voix du joueur de Quidditch l’avait un peu déboussolée. Elle se redressa pour faire face à cet individu qui l’avait toujours plus ou moins mis en déroute.

    JANE - « J’ai failli perdre ce match Oscar ! Je n’ai rien à fêter du tout ! »
    OSCAR - « Tu es une demoiselle bien complexe et difficile à cerner Jane Hamilton … »

    Le sorcier affichait un sourire en coin sous des airs d’ange rigolard qui provoqua un léger sourire de la part de la jeune Serdaigle. La bleu et Argent n’offrait jamais de sourire mais avec la présence du jeune Oscar Walker, la situation changeait de façon radicale et étrangement de manière instinctive.

    JANE - « … C’est exact … »

    Voilà les deux seuls mots qu’elle avait pus décrocher en le fixant de ses yeux. Oscar, avait toujours était égale à lui-même, c’est-à-dire calme, juste, battant et fidèle à ses convictions et ce peu importe la situation dans laquelle il se retrouvait.

    OSCAR - « Bien … Alors puisque tu ne vas pas faire la fête on pourrait discuter ? »

    Une ballade, une discussion, plusieurs rendez vous non manqué et un amour est naît d’une simple fascination pour l’un et d’une affection peu commune pour l’autre. Après avoir obtenue leur ASPIC, les deux sorciers se sont effectivement mariés en reniant l’avis du coté maternel en vivant leur propre vie comme ils l’entendaient. Jane obtenue rapidement une place dans l’équipe nationale de Quidditch de Grande Bretagne et Oscar travaillait en tant qu’auror.


    Quatorze décembre, Clinique de Fulham, Grande Bretagne.

    Un couloir désert, où discutent, passent en coup de vents des centaines de médecins, d’infirmières et gens malades. Niveau trois, salle deux, une jeune femme souffre de contractions qui ne cessent de croître aux files des minutes qui passent. Un homme lui tenait la main et ne cessait de la rassurer en lui disant:

    OSCAR - « Respire ma chérie tout se déroule à merveille »

    Une parole rassurante et apaisante pour une jeune femme qui devait sûrement souffrir le martyre entre guillemets. Après des heures d’atroces souffrances, le jeune médecin sortant tout droit de la faculté de médecine d’Oxford, vint annoncer la bonne nouvelle aux heureux parents.

    MEDECIN - « Vous êtes parents d’une adorable petite fille, Mr et Mrs Walker. »

    OSCAR - « Elle est la surprise que nous attendions finalement.» Avait dit le jeune auror en observant le nourrisson.
    JANE- « Nous l’appelerons Berlioz ... si tu veux bien ? »

    Le père de famille hocha d’un signe de tête, un sourire brillant aux lèvres. Tenant dans ses bras son fils aîné prénommé Tristan âgé de cinq ans, ce dernier regardait de manière intense et joviale ce petit être qui était devenue sa sœur en si peu de temps pour le dire. La figure maternelle compris des lors qu’il désirait prendre ce fragile humain dans ses bras. Le portrait de la cadette dormant dans les bras protecteurs du frangin dépeignait une image comme figée dans le temps. Le jeune bonhomme posa un regard sur la dénommée Berlioz et d’un son anodin, spontané et enfantin il répliqua.

    TRISTAN – « Rose. »
    OSCAR – « Comment mon grand ? »
    TRISTAN – « J’aimerais qu’elle porte ce prénom. »
    JANE- « Alors bienvenue dans la famille Berlioz Rose Walker. ».

    BERLIOZ - « Voila comment je suis venue au monde ce jour de décembre. Mes parents désiraient avant tous deux un garçon, mais ils ne furent pas déçus de ma présence monde bien au contraire. Je n’ai jamais eut le malheur de voir ma famille se déchirer et j’en suis fort heureuse. Le fait d’être la cadette de Tristan et d’avoir cet écart entre nous, nous a rapprochés de sorte que le lien est assez complice et complexe à la fois. »


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MessageSujet: Re: Walker ; Writer stripped. ended   Walker ; Writer stripped. ended EmptySam 21 Mar - 16:53


    Chapitre Deuxième : La disparition d’un sourire n’est jamais irrévocable ;
      « Il ne faut avoir aucun regret pour le passé, aucun remords pour le présent, et une confiance inébranlable pour l'avenir. »
    Jean Jaurès.



    Dix ans plus tard, Grande Bretagne.

    Les premières années de vie : une pure merveille et pleine de surprises. Comment se demander ce qui se passe dans la tête d’une petite fille ? Et bien nous allons essayer de vous le dire ou bien tenter d’approfondir ces quelques années d’enfance. La jeune Berlioz, plus souvent appelée « Oz », a vécu dans un milieu purement fantastique et imaginaire aux yeux d’un pur moldu proprement dit. Les parents Walker, vivent depuis prés de cinq ans dans le village de Loutry Ste Chaspoule, et ce bien avant la naissance de leur premier enfant. Ayant grandit dans la magie brute cela n’a pas empêché à la jeune fillette de suivre un cursus scolaire tout à fait normal jusqu’à ses quatorze ans. Issue d’une famille assez aisée plus ou moins, Berlioz est une sorcière au sang pur très curieuse qui adore en apprendre sur tout, notamment sur les sortilèges et enchantements. Sa curiosité est vite mis à l’épreuve, notamment par le métier de son père, qui est un Auror ; ce qui explique d’une part l’absence des parents que se soit maternelle ou paternel au domicile familial. En effet, la figure maternelle est un membre intégrant de l’équipe de Quidditch de Grande Bretagne. Remis aux bons soins de leur grand père paternel, la petite fille et son frère grandissent dans un univers où ils ne manquent de rien hormis de leurs parents de temps à autres. La fillette, poursuit ses études « moldu » dans un environnent calme et serein. En parallèle et de manière assez précoce, Berlioz se découvre un réel talent pour le sport sorcier qu’est le Quidditch. Alors que tout va bien dans le meilleur des mondes possibles, tout bascule le jour où Jane Walker meurt assassinée par l’un des nombreux partisans de magie noir, et ce de manière tout a fait douteuse. A croire que montrer son camp est une erreur. Depuis ce jour là, Berlioz ne s’est jamais montrée triste mais en revanche son comportement si jovial s’est quelques peu éteint, même si elle montre un optimisme à rude épreuve…

    FLASH BACK.


    Tout semblait calme en cette nuit de décembre, un jour que tout enfants du monde attend avec impatience, ce jour où l’imagination d’un être innocent ne demande qu’a déborder de rêves et généralement selon les croyances, le fameux jour où le fils prodige devait soit disant avoir vu le jour, un vingt cinq décembre. Cette date, une certaine petite fille de neuf ans l’attendait avec impatience. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle n’avait pas eut le loisir de voir ses propres parents de toute l’année, puisque leurs travail respectifs les afférés tous deux ailleurs et que par devoir ils ne pouvaient se désister. La fillette venait de fixer la dernière boule de noël sur le grand et sublime sapin verdoyant qui trônait au milieu du salon type européen de la demeure familiale des Walker. Fière de son travail entreprit, la mignonne se tourna ensuite vers son grand père, Ezékiel qui affichait un sourire fier et aimant. Ce dernier ne se posait pas plus de question face à ce que sa petite fille allait faire par la suite. En effet la brunette alla chercher un étui fin orné d’un cuir noir et serré. Assise sur le sol, la fillette l’ouvrit pour en sortir un instrument, celui qui la rapprochait le plus prés possible de sa tendre mère, Jane. C’est elle qui l’avait poussée à croire au bien fait de la l’art musical et de croire qu’en travaillant dur tout irait bien mieux. La jeune prodige posa doucement l’engin à corde sur sa frêle épaule d’innocence. Saisissant l’archet Oz fredonna quelques sons pour ensuite se mettre à jouer un morceau d’Hector Berlioz, un compositeur dont la figure maternelle murmurait les louanges à son sommeil lorsqu’elle n’était encore qu’un nourrisson. L’ancien Auror ferma les yeux se laissant guider par la musique mélodieuse que produisait l’instrument à cordes ; lorsque quelques instants plus tard l’air de musicalité se stoppa nette. Des pas dans l’entrée se firent entendre. Des pas lourds, qui couinaient sûrement du a la neige qui avait fondue, se fit entendre à l’entrée de la maison. Le visage de l’inconnu s’affichait enfin dans la lueur éclairante des bougies et des lumières de la demeure. Là, devant eux se dressait Oscar Walker, le père des enfants et le fils de l’ancien Auror. La mine peu amène, Berlioz distinguait parfaitement le visage mélancolique et malheureux de son père. La fillette n’étant pas dupe rompit le silence pesant qui régnait dans la pièce principale.

    BERLIOZ - « Papa … Papa. Pourquoi es tu si triste ? Personne ne devrait l’être aujourd’hui. »

    Le père ferma les yeux quelques instants avant de se rapprocher de son propre père qui compris tout de suite ce que son fils allez s’apprêtait à dire à la jeune fillette de neuf ans. Cette dernière tenait toujours de ses minces doigts et bras, l’archet et le violon auxquels elle tenait temps. Le paternel avait entre ses mains, les vestiges et les affaires de ce qui restait de son épouse, Jane. La brunette ne vacillait aucunement son regard de petite gamine perdue et emplis de curiosité. Certains disent que la curiosité est un vilain défaut et bien à cette époque là, Berlioz aurait préférée qu’on ne lui avoue jamais la disparition de sa mère et ce dans d’étranges conditions.

    OSCAR – « Ecoute ma chérie. Quelques fois il se passe des évènements et des choses dont nous ne maîtrisons pas du tout la candeur comme le danger. Et parfois les êtres humains en souffrent énormément et ne savent plus où est le chemin. Ta maman ne seras plus de ce monde (les larmes se montrent sur le visage du père.) mais de celui du ciel. ».

    Berlioz n’avait rétorquée mot, et sa petite frimousse d’ange blanc et ornée d’un sourire angélique avait totalement disparus au profit d’un visage fermé où seul les larmes versées auraient pus être la clef d’ouverture. Hors il n’y aurait plus jamais d’ouverture vers un nouveau sourire sincère, tant qu’elle ne voudrait pas le montrer. Laissant tomber l’archet puis l’instrument de bois vernis, la sorcière en herbe marcha telle un « zombie », dans la gigantesque habitation où elle avait passée le plus clair de son enfance. Arrivait dans la grande bibliothèque de son aîné, la douce s’installa devant le magnifique piano à queue aux touches couleurs d’ivoires. Frôlant le clavier froid, ses doigts fins se mirent à jouer un air de Mozart, celui qui autrefois était celui que sa mère fredonnait à son oreille pour trouver le sommeil. Un sommeil qui avait emportait l’effigie maternelle, dans un paradis où sa plume avait été plus légère que tout le reste face au jugement dernier. A pas mesurés et mélancolique, Tristan franchis le seuil de la bibliothèque et vint s’asseoir aux cotés de cette gamine qui ne souriait plus. Les mains fines de son frère aîné allaient parfaitement en accord avec le piano noir qui trônait au sein de la pièce remplis de livres en tous genres. Les quatre menottes de la fraternité, jouaient d’un parfait accord de notes dont la mélodie raisonnait dans l’enceinte du domaine où quelques années plutôt, le doux rire et l’innocence même psalmodiait elle aussi cette partition de grand musicien. Jane, serait désormais en haut à surveiller sur ses descendants.

    FIN DU FLASH BACK.



    Chapitre Troisième : Toutes les parties du puzzle trouvent leurs places respectives ;
      « Le hasard est le plus grand romancier du monde; pour être fécond, il n'y a qu'à l'étudier. »
    Balzac.


    La plénitude, la solitude, le calme, la nature, un ciel dégagé laissant entrevoir un léger soleil d’été parsemé de quelques nuages et une douce brise de vent provenant certainement du bord de la Tamise. L’herbe sur sol, prônait une pelouse verdoyante qui servait d’une simple pause de repos pour la plupart des habitants de la ville qui occupaient le parc siégeant à quelques pas du logement des Walker. Allongée sur le par terre fertile, Berlioz observait tel un plafond d’étoiles le fond bleu primaire de son enfance, celui qui lui avait arraché la tendre femme qu’il lui avait appris tout ce qu’elle devait savoir de ses gammes et de la musique en général. Elle n’en voulait aucunement à personne, si ce n’était à celui qui lui avait pris la vie deux ans auparavant. Les nuages formaient diverses formes. Cet amas de douceur et de couleurs blanchâtres, donnait vie à des symboles tels des signes qui avaientt une influence sur les expressions faciales de la jeune adolescente. Un sourire puis un air d’interrogation. Un froncement de sourcils puis une mine sérieuse égale à sa pensée du moment. Puis … Le néant. Un vide. Un trou béant dans lequel la lumière perd son sens pour vous définir que rien ni personne ne pourra déchiffrer sa conscience si froide et contradictoire. Un tunnel sans fin où elle seule dirige les actions et les paroles de vie en cours. Enfin, alors qu’elle toise une énième fois de plus le haut du « monde », elle aperçu une ombre à son tableau. Une obscurité affectueuse et solide qui la regarde en affichant son habituel sourire en coin aux commissures de ses lèvres. Cette ombre répondant à l’identité et portant le nom de Tristan, s’installa au coté de sa sœur. Cette dernière assise à la manière « indienne », lui jeta un regard en biais tout en arrachant une brindille d’herbe. Lui le regard perdu dans le vague ne cessait de se demander quand sa cadette retrouverait de nouveau se sourire si souriant qu’autrefois.

    LUI – « Tu attends toujours de partir à ton tour ? ».
    ELLE – « C’est un destin comme un autre d’entrer dans le monde dont tu fais partis … Je me trompes ? ».
    LUI – « Non tu es une sorcière tout comme elle l’était. Tu es un grand mystère qu’il faut cerner rien de plus. ».
    ELLE – « Peut être pas. ».
    LUI – « Hasard. ».

    Le mot « hasard. ». Qu’avait il en connotation avec elle ? Pas grand-chose, avait elle pensée sur le moment de sa réplique courte et dont la signification était lourde en imagination de compréhension. La brunette se mua dans un silence total durant quelques instants comme à l’accoutumé. Son mutisme incorrigible venait de prendre une tournure vraisemblablement étrange et lorsqu’elle ausculta de nouveau ce ciel limpide et clair, un hululement cristallin et mélodieux se fit entendre sur la petite colline du parc qui entourait les quelques habitations voisines. Le son qui en était à l’origine provenait d’une jeune hulotte au plumage blanc feutré. Le rapace se dirigea droit vers son propriétaire – autrement dit l’adolescente – et doucement vint se poser sur son bras. Lui picorant gaiement l’extrémité de ses doigts, Berlioz saisit le message qui abordait la patte menue du volatile tout en lui caressant à son tour le sommet fragile de son crâne, histoire de la remercier du trajet que la femelle animale venait de parcourir. Le message en question se présentait sous une forme de lettre dont l’enveloppe ancienne était cachetait via une enseigne qui dépeignait le symbole premier du collège de sorcellerie de Poudlard. Ouvrant la lettre, la jeune ermite en déduit très vite qu’elle était acceptée au sein de l’enseignement des sorciers.


Dernière édition par Berlioz R. Walker le Mar 24 Mar - 23:10, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Walker ; Writer stripped. ended   Walker ; Writer stripped. ended EmptyDim 22 Mar - 1:52


    Chapitre Quatrième : L’obscurité et l’art font partis intégrante du « moi » interieur ;
      « Le meilleur moyen pour apprendre à se connaître, c'est de chercher à comprendre autrui. »
    Gide.


    Le calme plat. Non rien de cela ne s’entendait dans les longs couloirs du château de Poudlard. Les chuchotements, les rires et les premières rumeurs de l’année raisonnaient dans les nombreux corridors des grands escaliers. Doucement mais sûrement, à pas léger et gracieux comme si cela lui avait été offert à la naissance, la douce adolescente déambulait dans les couloirs qui avait abrités sa scolarité de sorcière assidus. Mains dans les poches de sa veste a coupe évasée, la svelte brunette posait son regard sur les divers tableaux anciens, qui à force de les observer lui donnait une vision plus brève et plus limpide des choses. A de nombreuses reprises, Berlioz c’était questionnée sur le sens premiers des œuvres qui se tenaient devant elle. Personne ne cherchait à comprendre l’intérieur d’une autre personne dont elle ne connaissait que peu de choses. Il y aurait toujours – et ceux depuis la nuit des temps – la mentalité bornée aux principes fondamentaux. Ces derniers réagissaient à des ordres tels que « Elle n’est pas intéressante vu ton statut. », « vous êtes différents. », et encore les meilleures répliques sont à passer. Tout cela pour en venir au faites que les gens jugent autrui par leur premier abord et les apparences et non pour ce qu’ils valent vraiment au fond. Dans le cas de Berlioz, la carapace de froideur qu’elle dégage, l’aspect taciturne, un visage doux et mystérieux, une expression souriante mais à double visage. Cette artiste en herbe est tout comme son prénom l’indique une véritable virtuose du piano - même si son instrument de base demande plus de rigueur et de concentration- qui sait où l’avenir doit la mener. Loin de se reposer sur ses lauriers, la jeune sorcière poursuivait son trajet jusqu’au septième étage parmi lé dédale magique, comme elle s’adonnait à le nommer des son entrée à l’école de magie. La jeune fille à la chevelure d’un brun chocolat, s’arrêta nette devant un mur de pierre dont la couleur du marbre n’aurait su imiter le teint d’origine. Usé mais figé dans le temps, ce mur parmi tant d’autres semblait similaire à tous les pans de murs du domaine. Cependant cela n’était ni plus ni moins qu’une ruse, dont les dupes crédules ne verraient rien à rien. Droite face à cette façade étrange, Berlioz ferma les yeux et respira d’un souffle digne d’un murmure … Des images soudaines mais recherchées fusaient dans sa mémoire, laissant son conscient sélectionner celles capables d’ouvrir la porte enviée du mur de la salle sur demande. Tout aurait été au mieux, si la voix de venin du ténor qu’elle connaissait, n’était pas venue perturber sa concentration. Situé derrière elle, visage près de son oreille, le serpent respirait à son tour et d’une voix arrogante et pondérée rétorqua.

    LE SERPENT – « Je sais ce que tu penses Berlioz. Je l’ai toujours su. J’ai toujours pensé qu’au delà de ta carapace d’impassibilité, tu cachais autres choses. ».
    ELLE – « Serais tu un fin observateur, toi qui a toujours su être le nombril du monde ? Non la vérité est dure à dire puisqu’elle blesse. »
    LE SERPENT – « Tu ressembles bien là a ton aîné. ».
    ELLE – « Chose normale puisque c’est mon frère, tu ne m’apprend rien Caleb. ».
    CALEB – « … Echecs et Maths diront nous ? ».

    La jeune mystérieuse se retourna pour cette fois se retrouver face à face à un être purement égocentrique et d’un calme bien trop impatient. Le regard immobile, Berlioz n’effectua qu’un mince froncement de sourcil avant de le toiser d’un œil interrogatif sur la suite des événements.

    ELLE – « Exactement. ».
    CALEB – « Bien. Il me tarde une prochaine manche Berlioz. ».

    L’infâme et stupide serpent étudiant sous les couleurs des Serpentards disparus au coin du couloir sans demander son reste. Fermant les yeux lors d’une fraction de secondes, Berlioz pus enfin apercevoir la porte d’entrée de la salle sur demande. Une fois cette dernière franchit, l’adolescente de seize ans, reconnu comme a l’accoutumé le vieux piano à queue qu’offrait la pièce. Un instrument d’une teinte noire ébène allant de concert avec le clavier d’ivoire. Le contraste de l’objet musicale, ne faisait que lui remémorer le jour de la mort de la défunte mère qui les avait quittés elle, son frère et son père, dans un accident prématuré. Installée derrière le piano, l’ermite se mit faire jouer ses doigts d’un geste rapide telle une danse sur les touches. La mélodie produite par l’instrument apportait dès lors une sérénité à la jeune fille. Au final qui connaît vraiment qui ? Peut être que chaque individus sur terre préserve son « moi » intérieur pour cacher la magie qu’il referme en réalité. L’artiste qui sommeille en la jeune Walker n’a pas fini d’émerveiller son monde. Qui sait ?



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    Pour Finir ;

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Choixpeau Magique

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MessageSujet: Re: Walker ; Writer stripped. ended   Walker ; Writer stripped. ended EmptyMer 25 Mar - 0:58

Une histoire plutôt touchante et une fiche remplie de débat philosophique. Même si on perd un peu le fil par moment et qu'il est dommage qu'on tombe sur des fautes de conjugaison assez flagrantes la lecture reste sympathique. Par contre pour tes prochains RP et pour toi en général fais attention tu confonds ait/ais/é/er.. et après le verbe avoir on n'accorde pas =D. Malgré quelques fautes d'orthographe qui se sont glissées par ci par là l'ensemble reste plaisant. Essaies juste de faire attention à l'avenir =D.

Alors, une jeune fille qui est discrète et mystèrieuse. Qui peut paraitre froide et distante au premier abord mais qui au fond cache une blessure dont elle ne s'est jamais remise. Une virtuose passionnée et une intellectuelle qui aime se poser des questions. Assidu au travail elle n'en perds pas pour autant sa gentillesse quand on apprend à la connaître. Je ne vois qu'une seule maison qui te permettre d'évoluer comme tu le dois :

« SERDAIGLE »

Poudlard est à toi maintenant =)
N'oublie pas la fiche de lien et de RP. Si tu veux poser ta candidature pour le Quidditch n'hésite pas.
Et va faire un toure sur la ChatBox, c'est le moyen le plus rapide pour se rapprocher des autres membres.
Amuse toi bien parmis nous en floodant & RPgeant =)
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