Immortal Missing
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

 

 James M. Clarks | fini

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
James M. Clarks

James M. Clarks


Nombre de messages : 3
Age : 32
Date d'inscription : 21/03/2009

James M. Clarks | fini Empty
MessageSujet: James M. Clarks | fini   James M. Clarks | fini EmptySam 21 Mar - 22:09

James M. Clarks | fini Gg_milo53 James M. Clarks | fini Gg_milo50 James M. Clarks | fini Gg_milo48

James Mathias Clarks



  • POUR COMMENCER;



  • Nom & Prénom :
      Contrairement à nombreux de mes camarades, je porte le nom de ma chère mère, mon père m'étant inconnu. Un nom purement moldu, mais qu'importe. Il m'est cher, pour la simple raison qu'il est la dernière chose qui me raccorde encore à ma mère. Il est simple, tout comme mes prénoms : James Mathias. J'ignore de qui me viennent-ils et, une fois de plus, qu'importe. Je n'ai jamais fait très attention à mes prénoms, bien que je le trouve parfois un peu trop banal à mon gout.
  • Age & Année :
      Je suis âgé de 16 ans. Et vu que je n'ai jamais redoublé - ce qui s'avère être un miracle, j'avoue -, je suis en sixième année.
  • Nationalité :
      Purement Anglais. Je suis né à Cambridge, la seule ville d'Angleterre que je connaisse.
  • Nature du sang :
      Question à problème. Bien que j'affirme être de sang mêlé, je ne pourrai en être certain, étant donné que je ne connais pas la nature de mon paternel. Cependant, j'ai mes raisons de croire que celui-ci était de sang pur. Comment, si cela n'avait pas été le cas, ma mère moldue aurait-elle su que son fils était un sorcier ?
  • Orientation sexuelle :
      Jusqu'à présent, je n'ai jamais été attiré que par le sexe opposé. Mais que sait, peut-être qu'un jour ? Je doute cependant sur mes capacités à me priver de la gente féminine. Elles sont tellement sublimes.

  • Maison Souhaitée:
      Personnellement, je ne voix pas chez les verts et argents. Bien que j'apprécie leur ruse et leur sens de la logique, je ne pense pas qu'il suffise de se savoir beau, fier, fort et tout ce que l'on veut pour faire bouger les choses. Je suis d'avis qu'il faut toujours se battre - intelligemment cela va de sois - pour arriver à quelque chose. Je pense aussi qu'il ne faut pas vivre que pour son petit bonheur personnel. Ainsi, beaucoup me disent convenir parfaitement à la maison des rouges et or.. Je suis également de cet avis.
  • Baguette Magique :
      En bois Ajonc, 31.5 cm, contenant un nerf de cœur de dragon. On m'a dit un jour que ce bois m'amènerait plus facilement à mon but. Déjà faudrait-il que je l'ai trouvé, ce but. C'est une bagette de grande taille, assez rigide. C'est, évidemment, elle qui m'a choisi, et je ne la regrette pas.
    Patronus :
      Un loup. S'il me convient ? Je pense bien. Je dois dire que je trouve qu'un animal si réservé et froid m'a d'abord fait réfléchir sur ce que j'étais vraiment. Je me suis rendu compte que malgré les apparences que je donnais, je pouvais être facilement comparé à cet animal sage réfléchi, dans une certaine mesure. Je suis très fier de mon patronus.
  • Epouvantard :
      Il représente le vide, l'abandon. Je ne crains rien plus que cela. Surement parce que je l'ai déjà subi une fois.



Dernière édition par James M. Clarks le Mer 25 Mar - 19:53, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
James M. Clarks

James M. Clarks


Nombre de messages : 3
Age : 32
Date d'inscription : 21/03/2009

James M. Clarks | fini Empty
MessageSujet: Re: James M. Clarks | fini   James M. Clarks | fini EmptySam 21 Mar - 22:10

POUR APPROFONDIR;


  • RP

    Les pavés du trottoir étaient de petites formes. Comme à mon habitude, je sautillais dans tout les sens pour ne toucher aucunes fissures – un jeu qui m’était habituel. J’avais à peine 5 ans, j’aimais déjà me donner des défis. Celui-ci était certes bien anodin, ils s’intensifieront avec le temps. Lorsqu’il m’arrivait de flancher, une grimace défigurait ma face. Et aujourd’hui ne devait pas être un bon jour, car à plusieurs reprises, elle apparut. Heureusement, au bout de quelques minutes, la forme des pavés ne m’étonnait plus. Je les connaissais sur le bout des doigts. Pourtant, ils m’étaient étranges. Il émanait d’eux une atmosphère froide. Je n’aurais su l’expliquer, même à moi-même. Un sentiment de mélancolie m’envahissait à fur et à mesure que j’étudiais ce putin de trottoir. J’aurais voulu m’arrêter, je ne pus. J’aurais voulu courir, rebrousser chemin, faire n’importe quoi plutôt que de continuer ainsi, je ne pus. Simplement parce que devant ma mère, il me fallait être fort.

    Ma mère était la seule vivante qui se préoccupât de mon infime existence. Et se préoccuper était déjà un grand mot. Sa présentation pouvait se résumer en trois mots : adolescente en crise. Ce qui engendrait évidemment sorties, sexe, drogue, alcool et encore bien d’autres choses dont je ne connaissais pas encore l’existence. Malgré tout, je portais ma mère haut dans mon estime. De temps à autres, rarement même, elle venait ma raconter des histoires. Plus rarement encore, me faire un calin. Par contre, cela lui arrivait souvent d’entrer dans ma chambre en pleine nuit, à côté de ses pompes, et de me parler de choses étranges dont je ne comprenais pas la moitié. Elle faisait allusion à des histoires d’amour, d’abandon, et plus terrifiant, de magie. Je n’y prettais pas attention. Elle était « bourrée », comme elle disait. D’autre fois, j’entendais qu’elle n’était pas seule.. Non, elle n’était pas un ange. Il fallait aussi avouer que pour une mère, elle était extrêmement jeune – 22 ans. Elle vivait encore chez ses parents, et en profitait pour leur laisser ma garde. Je l’entendais souvent parler, crier plutôt avec ces derniers. Le sujet ne variait que rarement, et tournait toujours autour d’une seule et même personne : moi. Je m’en flattai, ne sachant pas vraiment d’où venait cette attention particulière. D’autant plus que jamais ils ne m’avaient adressé la parole directement. A croire que je leur faisais peur. Bref, l’ambiance à la maison était mitigée, tantôt électrique, tantôt glaciale.

    Ma mère était quelqu’un de bien, dans le fond, je n’en doutais pas. Nous étions côte à côte, elle marchait assez vite et c’est pourquoi je devais souvent courir pour arriver à la suivre. Je remarquai aussi sa tête baissée et ses yeux vides. Etait-elle sortie hier ? Pas dans mes souvenirs. J’entrepris de lui parler lorsqu’elle s’arrêta soudain devant un genre de vieux petit chateau, laide. Je la regardai en haussant en sourcil. Moi qui pensais qu’on allait se promener jusqu’en foret, qui n’était plus loin, et bien non. Sans me jeter un regard, elle me poussa gentiment à l’intérieur du batiment et entra à son tour. L’endroit était pittoresque, à l’image de ce que j’avais pu imaginer à voir l’extérieur. Ca ne me plaisait pas. Pas du tout. Nous restâmes trois secondes à peine dans le grand hall, puis une femme de haute taille vint nous rejoindre par une des nombres porte qui nous entourait. Je ne l’appréciais pas à l’avance, rien qu’à son regard froid. Elle s’adressa à ma mère, m’ignorant complètement :

      La secrétaire – Voilà le jeune intéressé ?
      Ma mère – Le voici.
      La secrétaire – Comment t’appelles-tu, petit?


    Je ne répondis pas, me contentai de la regarder fixement. Malgré son sourire en coin, je compris que mon silence l’hirata. Je m’en félicitai et ne fis pas même attention aux coups de coude que me faisait ma mère dans le dos pour m’insiter à répondre. Ce fut donc elle qui répondit à ma place en s’excusant de mon comportement, sois-disant que j’étais timide. A vrai dire, je l’étais peut-être. Comment pouvais-je le savoir, je n’avais encore jamais adressé la parole à qui que ce soit en dehors de ma mère. Oui, je l’étais surement. Perdu dans mes pensées, je ne faisais guère attention à la conversation qui se déroulait à côté de moi. Assez que pour savoir qu’elle ne me plaisait pas. La secrétaire posait beaucoup trop de questions à mon propos. J’avais l’habitude de toute cette attention, mais pas à cette ampleur. Tout y passait. Maladies, phobies, traits de caractère, âge, origines. Les réponses fusaient plus encore que les questions : Je n’avais aucune maladie, aucune phobie particulière, je semblais dépourvu de caractère et de sentiment, j’avais 5 ans et je n’avais pas de père. Puis, après tout ceci, croyant que je ne les écoutais pas, ma mère ajouta dans un murmure :

      Ma mère – Mais… Je dois vous prévenir. C’est un sorcier.



    *****


    Je ne comprenais pas. Pourquoi m’avait-elle fait cela ? Elle, ma mère, la seule, l’unique ? N’avais-je pas été à sa hauteur ? Je n’étais peut-être pas le fils dont elle avait rêvé. Peut-être l’avais-je empêché de vivre sa vie « d’adolescente »… Je ne savais pas, et n’allait certainement jamais le savoir. Elle était partie, en ne me laissant rien d’autre que son nom, et un baiser d’adieu. Je ne connaissais même pas son prénom. Je l’avais oublié. Je passai la première semaine à l’orphelinat à me haïr, à me reprocher d’exister. Et les semaines qui suivirent ne furent pas des plus encourageantes. Je me savais différent des autres, et inversément. La révélation qu’avait faite ma mère à la secrétaire de l’orphelinat, et à moi dans la même occasion, m’avait bouleversé. Mais qu’est-ce que cette nature engendrait ? Je n’en savais rien. Je n’y connaissais absolument rien. Et si toute histoire me terrifiait, elle semblait, au contraire, exister les autres enfants de l’orphelinat. Pour moi plus grand désarroi. Une bête de foire, voilà ce que j’étais devenu. Attirer l’attention sur moi était, décidément, ce que je faisais le mieux. Pourquoi ne pas en profiter ?

    Deux mois après mon arrivée, j’étais devenu plus populaire que n’importe qui à l’orphelinat. Plus même que le boss. Plus que la rebelle. Plus que l’insomniaque, que la pleurnicheuse, que la gourmande. Bien que j’aie du mal à comprendre l’intérêt que je suscitais, c’était ainsi. J’étais « le sorcier ». Et peu à peu, l’orphelinat s’est divisé en trois groupes. Il y avait le groupe anti-sorcier, qui m’évitait comme la peste et essayait – sans grand succès – de me rendre la vie impossible. Il y avait mon fan-club. Ceux qui me suivaient à la trace, ou que j’aille – ils auraient pu me suivre au chiot qu’ils l’auraient fait sans problème – en espérant me voir faire un tour de magie. Comme si d’un instant à l’autre, j’avais pu m’évaporer comme par enchantement. Et puis, enfin, il y avait les neutres. Ceux pour qui j’étais quelqu’un comme les autres. Malheureusement, ils étaient rares. Je dis malheureusement, mais en réalité, cette situation me plaisait pas mal. J’étais, en quelque sorte, le roi de l’orphelinat. Il y avait les rebelles, mes valets, puis les habitants qui ne prenaient pas part à la guerre. Car oui, à la fin, tout ceci ressemblait étrangement à une guerre. La troisième guerre mondiale. Faite moi rire. Même les surveillants s’y sont mis. J’y ai pris profit, évidemment, me faisant servir comme bon me semblait. J’avais soif ? Il me suffisait de le demander pour avoir un grand-jus de limonade glacée. J’avais sommeil ? On me donnait un coussin. La vie était belle. « Les rebelles » restaient dans leur coin, les neutres continuaient leur vie plus ou plus paisiblement, et mes valets donnaient leur vie pour moi. Qu’aurais-je donc pu demander de mieux ? Puis un soir, cette situation bascula.

    La nuit était déjà bien avancée lorsque je me fis attaquer dans mon sommeil. Dans un film.. J’étais dans un film ! Deux coups de couteaux dans le bras et dans la jambe. Je passai les 2 mois suivant à l’infirmerie. Je trouvai cela injuste. Je n’avais jamais rien demandé de tout ceci, après tout ! Bon D’accord, un petit peu quand même, n’empêche. N’importe qui avait pu être l’auteur de ce crime. Autant un ennemi rongé par la haine qu’un ami en prois à la jalousie. D’ailleurs, ce dernier clan avait fortement diminué depuis quelques semaines, voyant que je ne réalisais rien de ce qu’ils attendaient de moi. Mais que pouvais-je faire ? Ma mère s’était trompée. Pour la première fois depuis bien longtemps, je la remettais en cause. Cet accident avait donc eu du bon. C’est également lors de mon séjour à l’infirmerie que je fis sa connaissance. Elle était jolie. Surtout ses yeux.

      Moi – Tu es nouvelle ici ?
      La fille – Non. Tu ne m’as juste jamais remarqué. Je me demande pourquoi…
      Moi - …
      La fille – Je m’appelle Judith.
      Moi – Et moi..
      La fille – James. Je sais.


    Sa voix était cassante, puis douce. Je me demandai pendant un instant dans quel groupe elle faisait parti. De mes ennemis, amis, des neutres ? Elle ne me parlait pas comme si j’étais un Dieu vivant, comme certaines personnes de mon fan club – ce qui m’avait rassuré, d’une certaine manière. Ni violemment, comme l’aurait fait un de mes ennemi juré. Elle était simple, et pourtant différente des autres. Je compris cite qu’elle était différente des autres par sa normalité envers moi… La conversation continua pendant plusieurs minutes. Plusieurs heures. Au bout d’une semaine, nous étions inséparables. Meilleurs amis. Je gardais donc de cet accident une belle cicatrice au bras gauche, mais aussi le souvenir de ma plus belle rencontre.


    C’est à son côté que ma vraie vie continua. Elle avait fait naitre en moi des valeurs que je ne me serais jamais attribuées avant. Comme me répétait souvent Judith, j’étais quelqu’un de bien. A l’entendre, j’étais généreux, gentil, courageux, un peu têtu et fou, parfois. Protecteur, aussi. Et il est vrai qu’il suffisait que quelqu’un la touche pour que je sois sur mes gardes. Elle était devenue ma vie. Placée dans ma estime bien plus haute que ma mère auparavant. Je l’aimais. Mais à ce moment là, je ne savais pas interpretter ce sentiment si absurde à mes yeux. Jamais je n’avais vu l’amour de mes propres yeux. Mes grands-parents n’avaient jamais montrés une marque d’affection l’un envers l’autre. Ma mère ramenait bien ses conquêtes à la maison, mais ça ne semblait être qu’un jeu. Moi, c’était autre chose, que je ressentais. Plus fort. J’en étais certain. Mais à présent, je me rendais compte que jamais je n’aurais dû laisser mes sentiments grandir autant. Car un jour, alors que nous étions en train de manger à une table, seuls, un nouveau venu vint s’asseoir avec nous et commença à draguer Judith. Ce qui n’était pas pour lui déplaire. Je rentrai alors dans une folle rage, me levai et lui cassai la face. Après, je suis parti en direction de la sortie. Tout ceci avant même que les gardiennes aient compris quoi que ce soit. Judith seule avait couru après moi et m’avait attrapé le bras avant que je ne passe la porte de l’orphelinat.

      Judith – Ne me laisse pas, je t’en pris. Je t’aime.
      Moi – Je t’aime aussi. Je reviendrai, je prends juste l’air.


    Mensonge. Je n’allais plus revenir. Je fis du stop et demanda au chauffeur de m’éloigner le plus possible de cette ville, dans une autre ou il y avait au moins un orphelinat. Mon plan était de quitter cette ville, loin des rumeurs de magie et autre truc, et surtout loin de Judith. Je ne laisserais plus personne pénétrer si profond en moi. Elle m’avait envahi, omnibuler, sans même le savoir. Quelques années plus tard, j’en suis venu à la haïr d’avoir réussi à baisser mes défenses. Mais malgré tout, je ne pouvais oublier que ce que j’étais devenu était grâce à elle. J’étais né grâce à elle. Je ne restai pas longtemps dans mon nouvel orphelinat, car 6 mois après mon arrivée, une lettre me parvint. La lettre de Poudlard.



Je m'excuse franchement de l'horreur ci-dessus =S. J'espére que l'inspiration me reviendra dans mes rp. Si vous désirez encore un chapitre sur son entrée à Poudlard, il n'y a pas de souci.
Revenir en haut Aller en bas
James M. Clarks

James M. Clarks


Nombre de messages : 3
Age : 32
Date d'inscription : 21/03/2009

James M. Clarks | fini Empty
MessageSujet: Re: James M. Clarks | fini   James M. Clarks | fini EmptyMer 25 Mar - 19:58


  • Avatar: Milo V.
  • Pseudo : /
  • Age : 1* ... >14
  • Comment avez vous connu le forum ? L'administratrice x) (L)
  • Comment le trouvez vous ? Superbe, évidemment.
  • Code : OK by Ellen
Revenir en haut Aller en bas
Craig S. Henson
A D M I N

Craig S. Henson


Nombre de messages : 68
Age : 33
Date d'inscription : 14/02/2009

- Wizard -
- P a t r o n us -: Guépard
- A n n é e -: Sixième
- L i n k s -:

James M. Clarks | fini Empty
MessageSujet: Re: James M. Clarks | fini   James M. Clarks | fini EmptyVen 27 Mar - 13:40

    Bienvenu sur IM* (cousin *sbaff*) =)

    J'aime bien ta fiche qui se laisse lire facilement. James est bien tel qu'on l'avait imaginé avec notamment une enfance sans amour et son abandon. Les traits de caractère principaux ressortent dans ce que tu as écris.
    Cependant une petite partie sur Poudlard serait bien dans ta présentation. Etant donné qu'il n'a jamais réellement connu la magie voir sa réaction et autre serait bien.

    Voilà bonne chance pour la petite modification. On ne demande pas un pavé, juste une petite anectode là dessus suffira. =D;

    Préviens nous quand c'est fais =);
Revenir en haut Aller en bas
https://immortal-missing.forumactif.com
Contenu sponsorisé





James M. Clarks | fini Empty
MessageSujet: Re: James M. Clarks | fini   James M. Clarks | fini Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
James M. Clarks | fini
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Luce de Kersaint || FINI

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Immortal Missing :: Là Où Tout Prend Forme :: - Sous Le Choixpeau Magique... --
Sauter vers: